En cours de recherchage de titre ^^

Bon ben allez je me lance avec mon histoire. Pasque je cogite dessus depuis un bout de temps et maintenant ben voilà quoi faut des avis pour continuer... Assez parler :


Nous étions le mercredi 5 septembre, mon réveil sonna à 6h 30 du matin. Hier encore je m'étais levée à 10h 30 et ce matin je fus surprise par la sonnerie de mon réveil. Quand je pris conscience du jour que nous étions, j’assenai un coup sec et brutal sur mon réveil qui se tut presque immédiatement. Ma mère , qui ne m’entendît pas descendre , me héla de la cuisine. Cette fois , je me levai pour de bon , je pris mon élan et me redressai rapidement ; trop rapidement. Je perdis l’équilibre et m’affalai de tout mon long contre le rocking-chair qui , n’étant pas tous neuf , craqua sous mon poids. Je sentis un liquide chaud se répandre de mon genou gauche jusqu’à mon pied. En me relevant tant bien que mal je vis la couleur de ma chaussette blanche tourner du blanc au bordeaux - marron. Je gagnai la salle de bain à cloche pied pour essayer de nettoyer ma blessure, je retirai ma chaussette d’un seul geste et passai un gant de toilette sur ma jambe pour ne plus que ça saigne. Je pris ensuite ma douche en quatrième vitesse et m’habillai tout aussi vite avec un jean de l’année dernière et un haut rose tout neuf. Je vérifiai pour la énième fois au moins que je n'avais rien oublié. Je descendis les marches de l’escalier quatre par quatre et arrivai dans la cuisine où ma mère avait préparé biscottes et bol de lait pour moi et mon père. Je jetai mon sac par terre , comme à mon habitude, avant de sauter sur un tabouret afin de pouvoir entamer mon petit déjeuner avec appétit. Au bout de ma troisième biscotte et de mon deuxième verre de lait je me levai pour prendre mon sac jeté au sol quelques minutes plus tôt. Le bus passa en retard , comme chaque matin , et , comme chaque matin , Kurt courrut après le bus pendant un bon moment avant que celui ci ne daigne s’arrêter. Quand il entra dans le bus il était hors d’haleine et peinait pour passer entre les sièges , car nombreuses jambes barraient son chemin dans l’espoir sournois de le faire tomber. Je ris aux éclats et il me lança un regard noir , comme pour ma lancer un défi.

Le reste du trajet se passa sans encombres et il se termina sur une masse d’adolescents furieux tentant de descendre tous en même temps du bus , comme des primates.

Je sortis la dernière , ne voulant pas me mêler aux autres et arrivai un peu après la foule pour déposer mes affaires de l’après midi dans mon casier . J’étais dos à tout le monde lorsque j'ouvris ma porte de casier vert pomme à la volée , et manquai d’assommer ma voisine du dessous avec mes cahiers qui me glissèrent des mains. Une grande blonde aux lèvres pincées jaugea d’un coup d’œil ma coiffure sommaire ainsi que ma tenue dépareillée. Elle me tapota l’épaule avant de croiser les bras sur sa poitrine , laissant pendre son sac sur son épaule gauche. Je me retournai pour voir qui venait encore mes chercher des ennuis quand je vis que ce n’était que Miranda. Je m’adossai au casier et poussai un long soupir. Miranda esquissa un sourire et pouffa doucement. Je me retournai pour voir ce qui se passait de si drôle dans mon casier ; mon sac et mon jean denim venaient de prendre une teinte vert pomme. Ma porte de casier , ainsi que celle du dessous , indiquaient clairement qu’une personne venait de se frotter à elles. Je pris ma tête entre mes mains et poussai un second soupir ; la journée risquait d’être très longue ! Miranda secoua la tête avant de m’adresser la parole :



« - Tu es incorrigible ! Faut il vraiment que tu attires les choses désagréables avec toi ?

- Je crois bien que oui… Je ne suis pas faite pour être la fille qui , comme toi , est toujours classe et distinguée des autres. »

Elle jeta un nouveau coup d’œil à ma coiffure et acquiesça :

« - Classe… en effet ce n est pas trop ton truc ! Mais pour ce qui est de te distinguer des autres … Tu es la championne ! Bon d’accord , tu ne te distingues pas par ta classe mais …

- Laisse tomber veux tu, on va être en retard avec tout ça. Comme si ça ne suffisait pas ! »

Il m'en faut plus pour me décider mais pour l'instant j'aime bien!

Merci La suite arrive très bientôt. J'ai déjà écrit la suite mais j'attendais des avis ^^

Oué, pas mal, pour l'insatnt j'aime bien . . . Mais on verra après ! :p

Euuh ... Par contre j'ai remarqué beaucoupde fautes de temps

Continue !

beaucoup de fautes d'orthographes, ce qui ralentit la lecture.

Ca promets d'etre pas mal, mais moi aussi j'attends la suite pour me faire une idée =)

C'est sympa , mais j attends la suite ! (d autant plus que tu l as deja ecrite :D !)

Si tu veux je peux corriger tes fautes !


Allez envoie la suite tout de suite ^^

Navrée pour les fautes de temps et d'orthographe !!! La suite arrive bientôt ( certainement demain dans la matinée ).

Virginy >> Si tu veux corriger les phautes je veux bien car moi et les conjugaisons... Pis comme je tape vite je fait des phates de frappe ^^"

Nous étions (Le "on" est rarement utilisé en littérature^^)le mercredi 5 septembre, mon réveil sonna à 6h 30 du matin. Hier encore , je m'étais levée à 10h 30 et ce matin je fus surprise par la sonnerie de mon réveil. Quand je pris conscience du jour que nous étions (Ne serait ce pas mieux : "pris conscience de la date d'aujourd'hui...) ?, j’assenai un coup sec et brutal sur mon réveil qui se tut presque immédiatement. Ma mère , qui ne m’entendît pas descendre , me héla de la cuisine. Cette fois , je me levai pour de bon , je pris mon élan et me redressai rapidement ; trop rapidement. Je perdis l’équilibre et m’affalai de tout mon long contre le rocking-chair qui , n’étant plus tout neuf , craqua sous mon poids. Je sentis un liquide chaud se répandre de mon genou gauche jusqu’à mon pied. En me relevant tant bien que mal , je vis la couleur de ma chaussette blanche tourner du blanc au bordeaux - marron. Je gagnai la salle de bain à cloche pied pour essayer de nettoyer ma blessure, je retirai ma chaussette d’un seul geste et passai un gant de toilette sur ma jambe pour arrêter le saignement. Je pris ensuite ma douche en quatrième vitesse et m’habillai tout aussi vite avec un jean de l’année dernière et un haut rose tout neuf. Je vérifiai pour la énième fois au moins que je n'avais rien oublié. Je descendis les marches de l’escalier quatre par quatre et arrivai dans la cuisine où ma mère avait préparé biscottes et bol de lait pour moi et mon père. Je jetai mon sac par terre , comme à mon habitude, avant de sauter sur un tabouret afin de pouvoir entamer mon petit déjeuner avec appétit. Au bout de ma troisième biscotte et de mon deuxième verre de lait , je me levai pour prendre mon sac jeté au sol quelques minutes plus tôt. Le bus passa en retard , comme chaque matin , et , comme chaque matin , Kurt courrut après le bus pendant un bon moment avant que celui ci ne daigne s’arrêter. Quand il entra dans le bus , il était hors d’haleine et peinait pour passer entre les sièges , car de nombreuses jambes barraient son chemin dans l’espoir sournois de le faire tomber. Je ris aux éclats et il me lança un regard noir , comme pour ma lancer un défi.

Le reste du trajet se passa sans encombres , et il se termina avec une masse d’adolescents furieux tentant de descendre tous en même temps du bus , comme des primates.

Je sortis la dernière , ne voulant pas me mêler aux autres , et arrivai un peu après le foule pour déposer mes affaires de l’après midi dans mon casier . J’étais dos à tout le monde lorsque j'ouvris ma porte de casier vert pomme à la volée , et manquai d’assommer ma voisine du dessous avec mes cahiers qui me glissèrent des mains. Une grande blonde aux lèvres pincées jaugea d’un coup d’œil ma coiffure sommaire ainsi que ma tenue dépareillée. Elle me tapota l’épaule avant de croiser les bras sur sa poitrine , laissant pendre son sac sur son épaule gauche. Je me retournai pour voir qui venait encore mes chercher des ennuis , quand je vis que ce n’était que Miranda. Je m’adossai au casier et poussai un long soupir. Miranda esquissa un sourire et pouffa doucement. Je me retournai pour voir ce qui se passait de si drôle dans mon casier ; mon sac et mon jean denim venaient de prendre une teinte vert pomme. Ma porte de casier , ainsi que celle du dessous , indiquaient clairement qu’une personne venait de se frotter à elles. Je pris ma tête entre mes mains et poussai un second soupir ; la journée risquait d’être très longue ! Miranda secoua la tête avant de m’adresser la parole :



« - Tu es incorrigible ! Faut il vraiment que tu attires les choses désagréables avec toi ?

- Je crois bien que oui… Je ne suis pas faite pour être la fille qui , comme toi , est toujours classe et distinguée des autres. »

Elle jeta un nouveau coup d’œil à ma coiffure et acquiesça :

« - Classe… en effet ce n est pas trop ton truc ! Mais pour ce qui est de te distinguer des autres … Tu es la championne ! Bon d’accord , tu ne te distingues pas par ta classe mais …

- Laisse tomber veux tu, on va être en retard avec tout ça. Comme si ça ne suffisait pas ! »

Merci beaucoup ^^ !!!

attends , je vois que j ai oublié des trucs donc j'édite ^^

Il se peut que je n'aie pas tout vu , mais je pense que les fautes principales sont corrigées

De rien , j adore corriger


Voila , j ai relu et apparemment il n y a plus de fautes ! J ai changé la tournure de 2 ou 3 phrases (je ne me suis pas laissée emporter par mon "adoration" de l'écriture , je n ai donc touché qu aux phrases qui "choquaient" plus ^^)

voila !

D'accord merci beaucoup ! Pour la suite je vais essayer de la corriger moi même mais il va certainement rester des fautes ( surtout des fautes de temps et des inversement de lettres...)

pas de souci ! Si tu veux que je le corrige , c est ok ! Et si tu preferes le faire , c est ok aussi ^^

Et voilà la suite !!! Ps : Je n'ai pas corriger les fautes.


Je la devançai rapidement et arrivai avant elle à notre cours commun de "Vie de Classe". Ils nous annonçèrent un peu trop tard que les casiers avaient été repeints environ deux heures avant notre arrivée. Notre professeur principal nous relut le règlement intérieur , qui était plus souple que l’année dernière. En sortant de la salle , Miranda me regarda avec des yeux tristes , etm’annonça qu’elle ne profiterait pas bien longtemps du règlement , car elle et ses parents prévoyaient de déménager en Amérique. Je ne crus pas bien comprendre au début. Puis , au bout d’une minute , je ressentis comme un coup de poing dans le ventre, et me mis à courir devant moi , ne voulant plus m’arrêter par crainte que la fin du monde ne me rattrape. Je n’étais pas une grande sportive , et mon souffle commença à s’épuiser ; alors , je m’agenouillai contre le mur en carrelage et massai mes tempes brûlantes. Je m’abandonnai là , en attendant que ma déprime me rattrape et m’achève ici , dans ce couloirs froid. Je commençais à avoir des fourmis dans les jambes et je changeai de position pour appuyer ma tête contre mes genoux, mes mèches rousses tombant devant mes yeux. Les larmes roulèrent sur mes joues et je sanglotai silencieusement. La sonnerie retentit , ce qui signifiait que je venais de louper le cours de physique chimie. Je me relevai tant bien que mal pour aller à mon prochain cours , qui était dans l’aile Est du bâtiment ; et moi , je me trouvais a l’opposé , bien évidement. Je courrus (pas très sure pour les 2 "r" , mais ca me semble plus correct)à grande vitesse dans cette direction , ou plutôt , le plus vite que je pouvais , vu l'état de mes jambes flageolantes.Je vis la porte de mon cours et voulus m’arrêter , mais je m’étalai de tout mon long devant la porte dans un fracas assourdissant , tandis que ma prof de SVT ouvrait la porte pour pouvoir déterminer la nature de ce vacarme. Elle me jeta un regard furtif , d’un œil peu amène :



« - Alice, voulez vous bien vous relever , si vous ne souhaitez pas vieillir en heure de colle !

- Je suis vraiment désolée , Mme Aldes ! J’ai glissé. Ajoutais-je piteusement. »


Quand je rentrai dans la salle , je m’assis à côté de Miranda , qui me lança un regard interrogateur ; je lui fis signe que je lui raconterais tout plus tard. Ma paillasse était froide , et mon genou douloureux ; alors je [b]l'appuyai contre les barreaux froids de mon tabouret. Elle me raconta ses vacances , et pour ma part , je m’en inventais de merveilleuses , dont j’essayais de me convaincre moi - même. Hmm… Croatie, Los Angeles et Paris. J’en savais suffisamment sur ces pays et ville pour lui raconter mes vacances fictives. Elle me sourit , ce qui signifiait qu’elle avait gobé tout ce que je venais de lui raconter. On entendit la cloche sonner , sans pour le moins se presser , car c'était le premier jour et que nous avions rendez vous sous le préau pour la répartition des classes. Comme l'année dernière , je m'attendais à ce que Miranda et moi soyions dans une classe différente. Finalement , nous nous retrouvâmes dans la même classe. On nous distribua rapidement nos carnets et notre emploi du temps, puis on nous indiqua notre salle de classe pour notre premier cours de la journée.
Miranda m'accompagna silencieusement jusqu'en SVT où elle s'assit à côté de moi. Notre professeur entra dans la pièce , et fit cesser les bavardages dès son arrivée. Nous étions toujours en train de parler de nos vacances lorsqu'il frappa avec force sur notre table , ce qui la fit trembler.

« - Vos vacances m'ont l'air d'être des plus importantes , mais en ce moment , tout ce qui est important c'est MON COURS ! »

Il finit sa phrase en criant presque , et c'est à ce moment que nous nous retournâmes vers lui pour l'apercevoir. Il était gigantesque , il mesurait bien 1m90 ! Il avait des cheveux bruns coupés court et les sourcils froncés (ou foncés ? ou alors il a les osurcils froncés en permanence ^^ :D). Il avait une chemise blanche avec une cravate bleue par dessus. Quand il se retourna pour aller à son bureau, je vîs ses chaussures noires cirées qui brillaient à la lumière du jour. Il entama son cours sur les microscopes, mais je n'y fis pas vraiment attention car je m'intéressais plutôt à mon nouvel agenda... Je griffonnais quand la sonnerie retentit enfin. Je rangeai mes affaires en quatrième vitesse et sortis plus vite que tout le monde. Miranda m'appela désespérément du fond de la classe pour que je l'attende. Je l'attendis à la porte , et nous nous dirigeâmes à présent vers la sortie , car notre premier jour se terminait maintenant. Je rentrai chez moi en traînant les pieds ; de toutes façons , il n’y avait personne chez moi pour m'accueillir… Je m’installai sur le canapé et passai ma soirée à regarder la télé, si bien que je m’endormis devant.

Décidément, j'aime beaucoup =D

Continue !

La suite demain ! ^^ je suis entrain de l'écrire et haha il va y avoir une petite surprise ! Niark niark je vais rien vous dire de plus >.<

Je la devançai rapidement et arrivai avant elle à notre cours commun de <<Vie de Classe>>. Ils nous annonçèrent un peu trop tard que les casiers avaient été repeints environ deux heures avant notre arrivée. Notre professeur principal nous relut le règlement intérieur , qui était plus souple que l’année dernière. En sortant de la salle , Miranda me regarda avec des yeux tristes , etm’annonça qu’elle ne profiterait pas bien longtemps du règlement , car elle et ses parents prévoyaient de déménager en Amérique. Je ne crus pas bien comprendre au début. Puis , au bout d’une minute , je ressentis comme un coup de poing dans le ventre, et me mis à courir devant moi , ne voulant plus m’arrêter par crainte que la fin du monde ne me rattrape. Je n’étais pas une grande sportive , et mon souffle commença à s’épuiser ; alors , je m’agenouillai contre le mur en carrelage et massai mes tempes brûlantes. Je m’abandonnai là , en attendant que ma déprime me rattrape et m’achève ici , dans ce couloirs froid. Je commençais à avoir des fourmis dans les jambes et je changeai de position pour appuyer ma tête contre mes genoux, mes mèches rousses tombant devant mes yeux. Les larmes roulèrent sur mes joues et je sanglotai silencieusement. La sonnerie retentit , ce qui signifiait que je venais de louper le cours de physique chimie. Je me relevai tant bien que mal pour aller à mon prochain cours , qui était dans l’aile Est du bâtiment ; et moi , je me trouvais a l’opposé , bien évidement. Je courrus (pas très sure pour les 2 "r" , mais ca me semble plus correct)à grande vitesse dans cette direction , ou plutôt , le plus vite que je pouvais , vu l'état de mes jambes flageolantes.Je vis la porte de mon cours et voulus m’arrêter , mais je m’étalai de tout mon long devant la porte dans un fracas assourdissant , tandis que ma prof de SVT ouvrait la porte pour pouvoir déterminer la nature de ce vacarme. Elle me jeta un regard furtif , d’un œil peu amène :



« - Alice, voulez vous bien vous relever , si vous ne souhaitez pas vieillir en heure de colle !

- Je suis vraiment désolée , Mme Aldes ! J’ai glissé. Ajoutais-je piteusement. »


Quand je rentrai dans la salle , je m’assis à côté de Miranda , qui me lança un regard interrogateur ; je lui fis signe que je lui raconterais tout plus tard. Ma paillasse était froide , et mon genou douloureux ; alors je [b]l'appuyai contre les barreaux froids de mon tabouret. Elle me raconta ses vacances , et pour ma part , je m’en inventais de merveilleuses , dont j’essayais de me convaincre moi - même. Hmm… Croatie, Los Angeles et Paris. J’en savais suffisamment sur ces pays et ville pour lui raconter mes vacances fictives. Elle me sourit , ce qui signifiait qu’elle avait gobé tout ce que je venais de lui raconter. On entendit la cloche sonner , sans pour le moins se presser , car c'était le premier jour et que nous avions rendez vous sous le préau pour la répartition des classes. Comme l'année dernière , je m'attendais à ce que Miranda et moi soyions dans une classe différente. Finalement , nous nous retrouvâmes dans la même classe. On nous distribua rapidement nos carnets et notre emploi du temps, puis on nous indiqua notre salle de classe pour notre premier cours de la journée.
Miranda m'accompagna silencieusement jusqu'en SVT où elle s'assit à côté de moi. Notre professeur entra dans la pièce , et fit cesser les bavardages dès son arrivée. Nous étions toujours en train de parler de nos vacances lorsqu'il frappa avec force sur notre table , ce qui la fit trembler.

« - Vos vacances m'ont l'air d'être des plus importantes , mais en ce moment , tout ce qui est important c'est MON COURS ! »

Il finit sa phrase en criant presque , et c'est à ce moment que nous nous retournâmes vers lui pour l'apercevoir. Il était gigantesque , il mesurait bien 1m90 ! Il avait des cheveux bruns coupés court et les sourcils froncés (ou foncés ? ou alors il a les osurcils froncés en permanence ^^ :D). Il avait une chemise blanche avec une cravate bleue par dessus. Quand il se retourna pour aller à son bureau, je vîs ses chaussures noires cirées qui brillaient à la lumière du jour. Il entama son cours sur les microscopes, mais je n'y fis pas vraiment attention car je m'intéressais plutôt à mon nouvel agenda... Je griffonnais quand la sonnerie retentit enfin. Je rangeai mes affaires en quatrième vitesse et sortis plus vite que tout le monde. Miranda m'appela désespérément du fond de la classe pour que je l'attende. Je l'attendis à la porte , et nous nous dirigeâmes à présent vers la sortie , car notre premier jour se terminait maintenant. Je rentrai chez moi en traînant les pieds ; de toutes façons , il n’y avait personne chez moi pour m'accueillir… Je m’installai sur le canapé et passai ma soirée à regarder la télé, si bien que je m’endormis devant.

Suite !!!



Le lendemain ma mère me disputa comme quoi j’étais irresponsable et que j’allais être super fatigué aujourd’hui, bref, j’eus le droit à un sermon matinal. Je n’y accordais pas d’importance car rien n’avais plus d’importance. Je pris le chemin du Collège, a pieds car j’avais tellement traînée que le bus était déjà partit. Je sortis de mon sac mon emploi du temps et vis que j’avais SVT. Une réjouissance car on pouvait choisir sa place et je me placerais soigneusement au fond pour ne pas me faire interroger vu que je n’avais même pas mes affaires de SVT. J’arriva au collège sans m’en rendre compte, j’avais marcher en parlant toute seule et le temps avait vite passer… J’arriva en cours à l’heure pour une fois et j’allais aller m’asseoir à côté de Miranda sauf qu’elle… n’était pas là ! Il y avait une place libre près d’un garçon blond au yeux bleus. Je m’assis à côté de lui en soupirant, j’aurais dû me mettre à une table vide. Il ne me prêtait aucune attention, un bruit de porte qui s’ouvre se fit entendre. Je ne tourna même pas la tête pour savoir qui c’était, je le savais très bien. C’était Miranda et quand elle passa devant ma paillasse elle me jeta un regard furieux qui me fit baisser la tête. Je regrettais vraiment de ne pas avoir prise une table vide… Miranda alla s’asseoir le plus loin possible de moi. La fureur qui imprimait ses traits m’indiquaient que j’avais plutôt intérêt a avoir des excuses en stock. Si elle me faisait la tête ce n’était pas seulement pour ne pas lui avoir garder de place mais aussi pour tout ce qui se passait depuis longtemps. Elle avait toujours sût fermer les yeux sur les erreurs que je commettais, elle n’avait jamais rien dit quand je partais sans prévenir ou quand je lui posais un lapin, mais aujourd’hui c’était différent. Elle avait décider que c’en était trop qu’elle en avait marre de tout supporter. Mon voisin esquissa un sourire quand il vit ma mine dépitée. Je l’aurais claquée celui là ! Nan mais pour qui se prenait- il ? Si nous avions été dans un autre contexte et que nous nous étions retrouvés dans un endroit ou je ne risquais pas l’heure de colle je lui aurais décollé une bonne paire de claques qui lui aurait rafraîchit les idées j’en suis sûre ! Pour remplacer la baffe je lui lança un regard noir et lui pinça le bras, histoire qu'il comprenne que je n'étais pas de bonne humeur. Une grimace lui tordit la bouche quand je le pinça assez fort volontairement. Lui comme moi savions que c'était le début d'une guerre incessant jusqu'à ce que l'un des deux meure ou qu'il capitule, bon j'en fait peut être un peu trop mais en tout cas ça allait durer un bon bout de temps. Il daigna m'adresser la parole après qu'il m'eut pincer la jambe aussi fort que l'endroit ou nous étions l'eut permit.

« - Mais tu es folle ? Tu m'as fait mal ! Je n'ai rien fait à part esquissé un malheureux sourire ! Me glissa t-il a l'oreille.
- Je ne suis pas folle mais de mauvaise humeur et si tu tiens à la vie alors la semaine prochaine tu bouge de cette place.
- Voilà une bonne idée pour te faire enrager, je vais faire EXPRES de m'asseoir à ta table et tu devras me supporter toute l'heure ! »

Je tournais la tête en faisant mine de ne pas l'avoir entendu car je savais que cette conversation ne finirait jamais. J'essayais de me concentrer sur le cours mais je n'y arrivais pas car mon regard se détournais toujours vers Miranda pour voir la tristesse imprimer ses traits. Je repoussa des mèches rousses qui se baladait sur mon visage et lança mon stylo le plus près possible du tabouret de Miranda. Je crapahuta vers mon stylo a quatre pattes et je me fit épingler par le professeur qui ne manqua pas de m'humilier devant 25 élèves morts de rire.

« - Je vois Alice que mon cours vous intéresse ! Si vous voulez faire de l'escalade vous n'avez qu'à en faire à l'association sportive du collège ! A moins que ce ne soit une tentative minable de vous approchez de votre camarade Miranda ? Puis je savoir comment votre stylo a réussi à atterrire a l'autre bout de la classe ? »

Je me cachais derrière mes cheveux qui faisait un rideau cachant mon visage presque totalement. Quand je m'y attendit le moins j'entendit murmurer mon voisin que c'était lui qui avait lancer mon stylo là bas. Je me retourna et le fixais avec des yeux ouverts comme des soucoupes, il s'était dénoncer pour moi ?

« - Et bien Jonathan cet acte stupide va vous valoir une colle avec Alice ! Alice dépêchez-vous d'aller récupérer votre crayon sinon je le garde ! »

J'allais récupérer mon stylo adressa un bref regard a Miranda et retourna à ma place. Je ne croyais pas a ce qui veniat de se passer ! De retour a ma place je le fixais avec des yeux ronds. Il ne m'adressa pas un regard. Il était sûrement furieux d'être collé... Je le comprenais mais en fait je n'éprouvais aucune appréhension a le dire a mes parents. Je lui adressa un maigre sourire. Il ne me le rendit pas et il me fixai maintenant. Mais avec un regard dégoûté comme si j'étais tomber dans la bouteille de parfum et que je sentais à trois kilomètres.

« - Je suis désolée pour cette colle. Si tu veux je vais tout expliquer au prof pour qu'il ne me colle que moi.
- Oublie et fiche-moi la paix tu veux...
- Je t'ai dit que j'étais désolée et c'est vrai que veux tu de plus ? »

Je le regardai avec un air suppliant. Je ne voulais pas qu'il me fasse la tête car même si l'on ne se connaissait que de ce cours j'éprouvais une sincère amitié envers lui. La sonnerie sonna et il sauta de sa chaise sans m'adresser ni un regard ni une parole. Il empoigna son sac et me tourna le dos.

Coool =D J'aime bien !! J'ai remarqué que tu fais beaucoup moins de fautes de temps, c'est super ! =D

Continue!

Hum en fait j'ai aucun mérite parce que j'ai installée une fonction conjugaison sur word ^^ !

Suiite !



Quand je sortis j'eu failli oublier Miranda. Comme Jonathan elle me dépassa et adressa la parole a une fille de la classe qui s'appelait Mélissa je crois... Une fille qui ressemblait un peu a une grenouille et qui était sans doute très sympathique mais au quelle je n'accordais pas d'importance. Le soir je rentra et me fit toute petite. Je ne dîna même pas, le lendemain je fit mon heure de retenue dans un silence presque mortel. J’avais froid, mais pas comme quand on a froid en hiver mais là j'avais froid ( ça me coûte de le dire) aux os. Tout l'intérieur de mon corps était froid et gelé. Nous ne nous parlions plus, ni avec Miranda ni avec Jonathan. Je prit l'habitude de ne côtoyer personne et de m'enfermer petit a petit dans une bulle. Les jours passèrent et une routine s'installait sournoisement. Miranda et moi étions en froid et rien ne semblait s'arranger. Pour Jonathan et moi ce n'était guère mieux même carrément pire... A chaque fois que je le croisais il se collait soigneusement au mur, j'étais quasiment sûre qu'il me haïssait. En même temps je n'arrivais à éprouver de la culpabilité car en quoi étais-je responsable de sa dénonciation ? Il n'avait pas à le faire et pourtant il l'a fait. Miranda traînait souvent avec des filles comme Mélissa, ce dont j'étais secrètement jalouse... Je n'en pouvais plus de cette routine machinale et monotone alors je décida de ne pas la laisser squatter plus longtemps ma vie. Justement un groupe de garçon s'approchait de moi le sourire aux lèvres et les yeux rieurs... Non pas rieurs, moqueurs. Ils s'approchèrent avec nonchalance et se plantèrent tous devant moi.
« -C'est vrai que tes parents sont au chômage et que tu va vendre ta maison ? Dit-il tous ça en un souffle et en pinçant le nez. »



Je me demandais d'où ils sortaient ça, ce n'était que purs blasphème et je jeta un rapide coup d’œil au groupe de Miranda écroulée de rire sur un banc non loin de la ou je me tenais.



« - Je ne sais pas qui vous a raconté ces sottises mais c'est faux ! Mon père est... Journaliste et ma mère elle, elle est... Avocate aux barreaux. Et ils gagnent très bien leurs vies ! Me suis-je sentis de rajouter. »



J'essayais de donner à mon visage une moue convaincante ce qui parut à peu près marcher car ils m'assaillirent de questions.



« - Ton père il est journaliste ok, mais est-ce qu'il est connu ? Et ta mère elle travaille sur des grosses affaires ? Des meurtres et tout et tout ?
- Euh... Mon père n'est pas connu il fait juste quelques articles dans... le New Daily mais seulement la rubrique... petite annonce. Ma mère ne travaille seulement sur des affaires qui ne mérite pas de peine d'emprisonnement. »

Ils me regardaient tous avec des yeux ébahis et la sonnerie coupa court à cette discussion.

J'avais loupé la suite de ta fic! Mais j'ai tout lu et j'aime bien et j'espère que tu auras de l'inspiration pour écrire la suite! ^^

La suite est déjà écrite... ^^

Mais tu l'a fini ou c'est en cour?

C'est en cours j'en suis au chapitre trois donc j'ai encore quatre pages sur word et j'écris une moitié de page environ par jour donc la suite prochainement.

Ok merci pour ses précisions! ^^