Projet de Roman.

J’aurai bien imaginé mon enfance, si seulement je le pouvais. Elle était écrite à l’encre, sur un manuscrit. Sauf que la mienne aller changer. Je ne sais pas comment. Le seul moyen que j’ai trouvé, était de rêver.


Je ne fus pas surpris, se jour-là, de mourir, le sourire imprégnait sur mes lèvres. Une fille arrivait sur moi, le visage sombre mais d’une pâleur exquise. Elle se penchait sur moi, la bouche ouverte, les yeux noirs.

Je ne suis pas sur d’avoir prit la bonne décision, mais je retournais aux Etats-Unis. Je n’y étais plus allé depuis bientôt treize ans. Christine et Laurent, mes parents, avaient déménagés en France. Suite au boulot. Je pris mon avion à huit heure, pour arrivé à douze heure quarante cinq à New York. Je fus obligé d’enlever ma veste, le soleil était bouillant, attaquant chaque passant de ses rayons ardents. Quand je fus en dehors de l’aéroport, un gros sac dans la main, je scrutai les alentours. Je n’eus pas besoin de chercher longtemps, une vieille connaissance à mes parents était là, me regardant. Je m’avançai, hésitant, vers la petite voiture bleue d’Alex. C’était une Opel, loin d’être récente, je ne la connaissais pas. Il me serra la main et montait dans sa voiture. Il me suivit du regard quand j’allai poser mon bagage jusqu'à la place passager, à côtés de lui.

- Ta mère vient d’appeler, elle voulait savoir si tu étais vraiment sûr de vouloir rester ici.

Christine que j’appelai souvent Tine, était plutôt quelqu’un d’amusante, de plaisante. Elle savait faire la différence entre le travail et l’amusement. Quand elle bossait, Tine ne faisait jamais un faux pas. Toujours droite et dynamique dans son travail. A la maison se n’était pas du tout la même. Elle évitait de faire à manger le ménage et d’autres activités, c’était un désastre assuré. Mon père travaillait beaucoup, et c’est surement une grande exception qu’il vient de réalisé là. M’emmenai à l’aéroport.

- Je le dois. Répondis-je.

Je sentis la fausse note. Alex se retourna pour me dévisageais. Il tourna la tête, posa son regard sur la voiture de devant, une belle Lamborghini rouge nacré. Une femme se tenait à l’intérieure, je ne l’aperçus pas. Alexandre tourna la clef, alluma le contact, et recula, pour partir en direction d’un autre aéroport qui m’emmènerai jusqu’au Missouri. De là on reprendra la voiture et on filera tout droit sur Jefferson City, une ville de l’Etat du Missouri. Arrivé devant l’avion, je m’arrêtai brusquement, dévisageant la fille qui se tenait contre le mur. Elle était magnifique, le teint pâle, les cheveux blonds et des pupilles noirs. Elle me regarda, de ses yeux sombres. Tétanisai pas la frayeur je n’osai pas regarder ailleurs, elle me scrutait, je la scrutai.

Alex me tapa dans le dos, pour m’emmenai dans l’avion. Je le suivis, sans faire attention où on nous fit asseoir. Elle ne m’avait pas suivie, dommage, cet avion n’allait qu’au Missouri.
Alex me fit sortir de ma rêverie. Il n’était pas trop bavard, ce qui me plus.

- Keegan ? Se soir j’ai prévu d’aller dans une cafétéria, pour parler. Tu n’es pas trop fatigué ?

Alexander était une des personnes qui fait les choses, et qui demande la permission ensuite. Je ne pouvais protester, la réservation était déjà prise. Je le regardai, Il regardait par le hublot, l’avion aller bientôt se poser.

- Sa ne me gêne pas. Mentis-je

Bien cette fois si, car un petit sourire vînt se poser sur ses lèvres. Oubliant qu’on était dans le Missouri, un endroit chaud. Je gardai ma grosse veste. L’hôtesse nous fit tous sortir, on était arrivé, une nouvelle vie s’offrait à moi.

Une bouffée de chaleur me submergea, m’expédiant en enfer, je suffoquai, tomba mais je me rattrapai à la rampe. L’idée me vînt, d’enlever ma veste, dessous j’avais qu’un T-shirt blanc, et un jean bleu. Alex me proposa de la tenir, j’acceptai et je poursuivis mon chemin. L’Opel venait juste de descendre de l’avion, on aurait pas à attendre deux heures. On n’y montait, ma valise toujours là, sur la banquette arrière. Nous roulâmes, à une allure modérée, même trop lente, que je trouvais agaçante. Je n’osai rien dire et j’attendais qu’on sorte de Springfield, là où l’avion s’était posé.

Seul le poste marchait, il brisait le silence de la voiture. Alex ne devait pas aimer discuter, sa m’arrangeai, je n’avais pas envie de parler moi non plus. Nous roulâmes longuement, de Springfield jusqu'à Jefferson City, on arriva là bas, tard dans la soirée. Il rangea sa voiture dans le garage, m’attendit sur le seuil de la porte. J’avais mon bagage à la main, il n’était pas trop lourd, je comptai refaire ma garde robe.

Il me fit visité la maison, elle était à étages, deux étages, J’habiterai au deuxième, les deux étages étaient les mêmes, mis à part la cuisine qu’il n’y avait seulement qu’en bas. Je balançai mon sac sur le lit, j’en sortis ma trousse de toilette, un débardeur blanc, un short. Je m’habillai légèrement vu la chaleur du soir.

Quand Alexander m’interrompit dans mon activité, j’eus du mal à trouver l’escalier qui menait à la cuisine. L’escalier était bien caché, derrière une armoire. Le micro-onde tournait, l’odeur, je ne peu la décrire, mis à part qu’elle me fut insupportable. Tout comme le repas, il n’était pas fameux. Je me retins de faire la remarque, j’évitai d’ailleurs de ne pas parlé du tout. Je pensai au lendemain, j’allai découvrir le lycée de Jefferson City. J’étais pressé, de nouveaux amis, de nouveaux profs. De plus, je n’étais pas loin du lycée, Alexander m’y emmènera jusqu’à mes seize ans. Pour l’instant, je n’avais que quinze.

- C’est trop tard pour aller à la cafétéria, donc on mange ici. Il hésita, me regarda fixement, et reprit la parole :

- Keegan, demain je t’emmène au lycée à sept heures quarante cinq, sois prêt.

Alexander travaillait dans une usine, rien de bien exceptionnel mais il gagnait bien sa vie. Il recevait en plus des sous de mes parents pour la nourriture, le lycée, ma voiture. Il y’en avait plus à chaque fois pour le remercier de m’acceptais dans sa maison, mais il m’avait dit que sa lui servait à rien, qu’il préférait les mettre sur mon compte qu’il avait ouvert.

J’allais dans ma chambre pour allumer l’ordinateur. Il était neuf. J’envoyai un e-mail à mes parents pour leurs dires que j’étais bien arrivé, la maison était super. L’e-mail envoyé, je m’installai dans mon lit, paupières closes, j’entendais que le somme me submerge.

Je me réveillai, le lendemain matin, en retard. Je ne pris qu’une petite douche, je n’avais pas le temps de prendre le petit déjeuner. Alex m’attendait dans la voiture, il tapoté le volent avec ses doigts, il devait surement être en retard. J’avais le cartable sur le dos, je courrai vers la voiture. Deuxième jour que je le connaissais, il avait, aujourd’hui, le regard froid et vide. Le visage blême, il me faisait peur. Je n’eus pas le courage de le regarder une nouvelle fois, je gardai le regard posé sur le pare brise. Il freina brusquement, on était arrivé. Il ne me dit pas au revoir, juste un signe de tête bref au mien. Je ne comprenais pas, hier, il paraissait heureux de m’avoir avec lui. J’arrivai sur le parking du lycée, les voitures n’étaient pas terrible, sauf une belle Porsche carrera gt dorée, garée au plus près de la sortie.