Réactions aux critiques

Ah oui, j'ai aussi lu cette critique observant que Twilight prônait l'abstinence sexuelle. Je n'avais pas ressenti ça en lisant les livres, mais c'est vrai qu'Edward ne veut pas toucher Bella avant qu'ils soient mariés...

On peut le voir comme ça c'est vrai. Mais avant que les critiques ne le fassent remarqué, je ne l'avais pas perçu de cette façon. Dans le livre, tout le pourquoi et le comment est très bien expliqué donc je me suis pas posée de question.

Je pense que ces mauvaises critiques sont principalement dû à l'âge des journalistes.

Twilight est un film vraiment très bien, mais je pense qu'il faut être adolescent ou jeune adulte pour vraiment apprécier le film. C'est ma théorie, et apparemment, elle se confirme, puisque tous les adultes qui ont vu le film m'ont dit que c'était nul et niais, et tous les ado (entre autres, mes amis) m'ont dit qu'il était super.

Vous voyez ce que je veux dire ??

Mais Pff, les critiques n'importe quoi, ça craint mdr !!

Ils sont trop cons, en plus, (désolée du mot mais j'ai pas pu m'empêcher =s) ils font une "critique" où ils disent: ouais film ado = pourri, mais je parie qu'ils n'ont pas lu le livre (c'est même une évidence) alors franchement qu'ils ferment leur ... gueu** avant de critiquer, ils ne savent rien sur ce phénomène, c'est des critiques complètement bâclées pour toutes celles que j'ai vu !! Nan mais vraiment -_- ... ! C'est vraiment navrant ! Je me demande même si ils ont bien regardé le film !! En plus, ils sont tellement ... "méchants" c'est juste pour rabaisser, ils ont un complexe d'infériorité, ceux-là !!

Bon j'arrête, mdr, j'ai fini mon coup de gueule, mais bon, voilà quoi ... =s !

Je ne pense pas que ce soit l'âge non, simplement une question de goût. J'ai vu et lu de bonnes critiques de journalistes qui ont dépassé la quarantaine; et je connais plusieurs adultes qui ont aimé le film.

Oui, tu as peut-être raison, finalement. Mais je pense que ça dépent. Ca dépent en fait de l'ouverture d'esprit, je pense, mais peut-être que je me trompe complètement .

J'ai lu une bonne critique: http://www.ohmygore.com/critique-twilight-chapitre-1-fascination-494.html

^^

Jude a écrit:

Oui, tu as peut-être raison, finalement. Mais je pense que ça dépent. Ca dépent en fait de l'ouverture d'esprit, je pense, mais peut-être que je me trompe complètement .

J'ai lu une bonne critique: http://www.ohmygore.com/critique-twilight-chapitre-1-fascination-494.html

^^

Oh ca fait du bien une bonne critique Elle est vraiment très bien écrite!

J'ai trouvé quelques critiques plutôt positives sur le site Evene juste parce que ça fait du bien d'en lire de temps en temps. (& j'espère qu'elles n'ont pas été postées).

Les Inrockuptibles - Hélène Frappat (7 janvier 2009)
Un très beau film sur la naissance du désir sexuel. Les vampires de 'Twilight' ont perdu leurs crocs, et il manque sans doute au vampire fantasmé par une jeune adolescente l'élément constitutif du désir, ce sentiment dont jouissent les héroïnes adultes de Breillat ou Carpenter, mais que refusent les adolescentes puritaines des lycées américains : le goût provocant de la peur.

Première - Alex Masson (Janvier 2009)
'Twilight' peut sembler lisse, peu transgressif, mais il se laisse malgré tout regarder sans déplaisir. (.. .) La bonne idée reste d'avoir confié les rôles principaux à Kristen Stewart (.. .) et à Robert Pattinson.

Ciné Live - Marc Toullec (Janvier 2009)
Nettement supérieur au 'Pacte du sang', 'Twilight' mêle habilement fantastique et romantique. Rien de révolutionnaire sinon des éléments originaux de scénario et une réalisation qui, non sans ralentis lourdingues, tire le meilleur parti d'un cadre naturel sauvage et splendide.

Studio - Thierry Cheze (Janvier 2009)
L'utilisation de la musique, l'abus de ralentis pour souligner les choses apparaissent comme autant de fautes de goûts. Mais, malgré tout, on finit par se laisser emporter par le romanesque de l'ensemble et par l'interprétation tout en retenue de Robert Pattinson et Kristen Stewart, et par ce parti pris de modestie des effets spéciaux, toujours au service de la scène.

Bonnes critiques dans l'ensemble

Un peu trop intellos, on ne comprend rien à ce qu'ils veulent dire mais c'est mélioratif xD

Enfin des critiques positives..

Je me demande dans quelle catégorie je dois me placer!
Comme quoi jeunesse ne passe pas toujours!
Pour ce genre de film les critiques ne peuvent qu'être partagées. Ce thème n'est pas fédérateur. Les fleurs bleues contre les non fleur bleues, les pro-vampires contre les anti-vampires etc...

Mais mettre les gens dans des boites c'est stupide. Et je vous assure ne pas être la seule maman des environs à avoir littéralement ....comment dire it's like our brand of Heroïne !

Je ne sais pas où le mettre, donc je vous mets donc ici l'article qui se trouve dans le dernier Marianne et que je trouve très vrai pour ma part

*un peu de pitié si fautes il y a, je dois tout recopier, mon scanner étant mort*

"TWLIGHT" Le film qui rend folles les ados

Il y avait le livre, accompagné par des chiffres records: la série Twilight, de quelques 2 560 pages, s'est vendue à 18 millions d'exemplaires à travers le monde et à été traduite dans 37 langues. Maintenant il y a le film...Escorté, là encore, d'un triomphe: plus de 1,6 millions d'entrées en trois semaines! Harry Potter a du souci à se faire...A une différence près: le public de Twilight Chapitre 1, Fascination est presque exclusivement composé de filles. Elles ont vu le films deux fois, trois fois, quatre fois... Exactement comme pour le film Titanic il y a 10 ans. Stephenie Meyer, l'auteur de la série, est parvenue à mêler sentimentalisme et fantastique dans l'histoire de son héroïne Bella. Cette fille de parents divorcés doit quitter l'Arizona pour rejoindre son père à Forks, un repli humide de l'état de Washington. Là, dans son nouveau lycée, elle tombe amoureuse d'Edward, qui se distingue de ses camarades par son teint livides et ses manières élégantes. Une telle entrée en matière pourrait se poursuivre en teenage movie anonyme, mais il s'avère que le charmant Edward est un jeune vampire de 107 ans, rotégé de la lumière du soleil par le ciel bas et mat de cette Transylvanie américaine. Place à l'amour passionnel et tourmenté, qui ne peut trouver satisfaction sans que la vie de Bella ne soit menacée... Car même si Edward appartient à une famille de vampires philanthropes, se nourrissant d'animaux sauvages, la tentation de mordre la jeune fille est grande. Du film d'épouvante, on passe au traité d'amour vertueux où l'on voit deux amants tenter de réfréner leur désir. Les filles adorent.

Idolâtré dans les blogs

Depuis Nosferatu, c'est toujours la sexualité qu'il est question dans les films de vampires. Ici, l'intrigue se construit sur la tension entre un érotisme omniprésent et le propos finalement chaste d'une œuvre qui valorise la maitrise des pulsions amoureuses. Paradoxe troublant, surtout quand fusent les cris pour la première apparition d'Edward à l'écran..."C'est pour Edward qu'on est venu!" s'exclament-elles, la voix dérapant vers les aigus "Moi Bella, je l'aime pas, tranche Pauline, je suis trop jalouse.- Y a de quoi", rétorque son amie. Edward donc à les faveurs des jouvencelles, comme Jack dawson embrasait les foules en criant "Je suis le maître du monde!" à la proue du Titanic. Leonardo Di Caprio n'était pas encore aussi connu, tout comme Robert Pattinson il y a peu... Désormais, les jeunes Américaines sanglotent devant leur webcam leur amour déçu pour Edward. Sans parler des blogs consacrés à la série d'images saintes à l'effigie du divin vampire, quand ce ne sont pas des séances de transe filmées où les filles répètent en boucle la bande-annonce. Idolâtrie, quand tu nous tiens...
Selon le psychiatre Paul Bensussan "cette attitude est propre aux très jeunes enfants qui lisent et relisent chaque soirs la même histoire avant de s'endormir, jusqu'à la connaitre sur le bout des doigts". Twilight serait donc un conte pour adolescents? Les jeunes spectatrices connaissent le livre par cœur et précèdent la plupart des répliques en chuchotant au fond de leur fauteuils, les mots d'amours échangés à l'écran. "Tous les ados que je reçois dans mon cabinet en parlent" affirme le pédopsychiatre Stéphane Clerget. Et cet engouement pourrait même être une litanie protectrice. L'amour abstinent entre deux congénères qui maitrisent leurs désirs aurait quelque chose de rassurant pour les adolescents, dans une société "où rien n'est fait pour les aider à contenir leurs pulsions, parfois vécues comme dangereuses, poursuit le psychiatre. Si leurs parents avaient été pudibonds, ce n'est pas Twilight qui marcherait mais un Dieu créa la femme nouvelle manière..."
Car l'univers des vampires épouse les préoccupations des adolescentes. Il n'y a pas que Twilight... Les librairies regorgent de séries comme "La sage de Daren Shan", La Communauté du Sud, ou encore Journal d'un vampire. Au cinéma, le film suédois Morse, raconte l'amitié entre un jeune garçon martyrisé par ses camarades et un enfant vampire comme dans Blood, The Last Vampire, dont l'héroïne est utilisée pour les basses œuvres de l'armée américaine.
En plus de la peur de la contamination par l'acte d'amour, un thème que l'on retrouve partout dans Twilight, c'est le rapport du vampire à la société qui plait. Les ados raffolent de cette marginalité, de ce rejet des conventions. Le vampire ne vit pas dans un monde parallèle comme Harry Potter, il est au-dessus du commun des mortels, une sorte de James Dean suceur de sang. De plus, son monde n'est pas radicalement différent de celui d'un ado. Dans le film, Edward et sa famille de gentils vampire, arborent d'abondants signes extérieurs de richesse. Pas de manoir humide ou de cercueils matelassés de velours rouge, mais une villa de style contemporain meublée façon Ikéa. ce qui plait dans Twilight, c'est justement ce que les fans disent "subtil" de la routine vers l'étrangeté. Visiblement les ados rêvent d'une vie de créature magique avec téléphone portables et écrans plats. Quelques grammes de fantastique dans un monde high-tech...


Et un petit article sue Stephenie Meyer

Le filon mormon.

Stephenie Meyer, l'auteur de Twilight, est présenté comme "la nouvelle J.K. Rowling".
Pourtant, exception faite de leurs succès respectifs, tout les oppose.
La créatrice d'Harry Potter ramait sérieusement, entre chômage et vie de mère célibataire. Depuis dotée d'un solide bon sens, elle n'a jamais cédé un pouce à l'exercice promotionnel, préférant la réclusion et l'anonymat. Stephenie Meyer, elle, est rangée, un tantinet mystique. C'est une femme d'intérieur mormone qui aime consacrer ses journées à la bonne marche du foyer familial, sans tabac, ni alcool, ni caféine, suivant le rôle que lui assigne la tradition des saints du dernier jour. Elle a d'abord rêvé ses romans. Elle raconte que, dans un songe, elle a vu ses deux personnages, l'adolescente et le vampire, éprouver un amour qui ne sera consommé qu'au risque de basculer dans l'horreur cannibale. Un vrai fondement de l'éthique mormone...Car on trouve ici, comme dans tout le reste de l'œuvre, une contradiction propre à la culture mormone, entre l'esthétique de la contention et une fascination inavouée pour les puissances obscures de l'âme. Ainsi, les membres vampire de la famille d'Edward refusent de gouter au sang humain aux prises avec le désir vicéral d'étriper la gentille Bella! C'est par leur retenue qu'ils s'humanisent, se distinguant des autres vampires, leurs ennemis anthropophages.
Un rêve pour psychanalyste. Alors qu'outre-Atlantique dans fleurissent les clubs de chastetés lycéens, sur fond de critique du libération sexuelle, Twilight sonne comme un manifeste en faveur de l'abstinence... A.K.


Voualaaaaaaaaaaaaaaa

Laul. Ca me fait presque rire l'analyse psychologique des amatrices de Twilight.

Merci d'avoir recopié l'article Gat =D
Il est pas mal :D Sauf...

Citation :

..."C'est pour Edward qu'on est venu!" s'exclament-elles, la voix dérapant vers les aigus "Moi Bella, je l'aime pas, tranche Pauline, je suis trop jalouse.- Y a de quoi", rétorque son amie.

My god ses filles là, je les étranglerai bien =D

Pas entendu parler--'
Ha, si... de mauvais critiques en tous cas... Que je démentis bien évidemment !!!