Concours fanfiction! Jake & Nessie

Voilà mon OS pour le concours pour ceux qu'ils veulent bien le lire^^ jai eu 13,67 :)
Si vous pouvez commenter mon OS se serait sympa car jaimerai m'améliorer et ainsi écrire d'autres fanfiction :D
Dites-moi uassi, si vous avez participer et votre OS ets surle forum; jirai le voir avec plaisir =)
Et n'hésitez pas à critiquer

Voilà Mon OS: (partie1)
Une rencontre imprévue:

La forêt verte et abondante défila sous mes yeux, l’air frais du matin me procura un plaisir unique. De plus, je me trouvai au côté de mon Jacob. Nous chassions depuis déjà quelques temps mais un petit cerf de plus m’aurait fait largement plaisir. C’était difficile de boire du sang animal alors que le sang humain était si agréable. Mais ma mère, à chaque fois que je posais ma menotte sur sa peau pour lui demander du sang humain, me répondait toujours : «  Non, Renesmée. Tu sais que si tu bois du sang humain, tu auras plus difficile à te contenir devant pépé » et mon père renchérissait toujours : « Ta mère a raison, et lorsque tu te feras de nouveaux amis, tu ne voudras pas les mordre et leur faire du mal, n’est-ce pas ? » Là-dessus, je ne pouvais discuter.

Chasser avec Jake était une réelle partie de plaisir. On s’amusait tellement, que ce soit à attraper le plus gros cerf de la forêt ou à courir le plus vite possible, que la matinée en sa compagnie relevait d’un combat difficile. À un tel point que dès que je rentrais à la maison, je m’effondrais et m’endormais dans ses bras chauds.
- Qu’est ce que tu fais Nessie ? Tu veux perdre ou quoi ?, dit Jacob en me sortant de mes pensées- il était redevenu humain.
- Oui, je te laisse un peu d’avance parce que sinon ce n’est pas drôle. Je gagne toujours ! répliquais-je avec le sourire en coin que j’avais hérité de mon père.
- Ben voyons, renchérit-il en levant les yeux au ciel.
Une trace toute fraîche sinuait à travers les grands arbres de la péninsule d’Olympic - Je ne pouvais guère aller plus loin, obligation formelle venant de ma mère. Les martèlements de pas commencèrent à se faire entendre. Il suffit d’un seul regard pour que j’eus compris que Jacob les avait aussi entendus et son corps fus immédiatement pris de tremblements : il allait devenir mon loup préféré.

Aussitôt, nous fonçâmes en direction des bruits de sabots. Ils étaient tout prêt d’un cours d’eau, je pouvais entendre les lapements de leur langue en contact avec l’eau fraîche de la rivière. J’étais juste devant Jake, si bien que je sentis son souffle chaud rebondir sur mon dos de marbre. Un bruit sourd retentit. L’un de nous avait marché sur quelque chose. Une brindille. L’attroupement de cerfs l’entendit aussi. Soudain, ils démarrèrent au quart de tour, ne laissant derrière eux qu’une trainée de poussière. Jacob et moi courûmes dans la direction qu’ils avaient prise. Le troupeau étant en vue. Je bondis sur une pierre, située en hauteur, et m’élançai jusqu’à eux. Lorsque je parvins à mon but, Jake me rejoignit en quelques petites foulées. Mais je réussis tout de même à attraper le plus grand cerf d’un magnifique pelage brun. Jake, lui, dut se contenter de la petite femelle.

Comme toujours, c’était moi qui gagnais, mais parfois je me demande s’il se borne à me faire plaisir en me laissant gagner. Il faut dire que soit je gagnais largement, ce qui, à mon avis, signifiait qu’il me laissait gagner, soit je gagnais de peu mais il me donnait une part de son repas.

Le gout du sang commença à monter dans ma bouche. Un mélange de fer et de rouille fort appétissant. Je perçus un petit pouffement, mais je me doutai bien que c’était mon Jacob. En effet, il me regardait avec un large sourire et des yeux pétillant comme des petites bulles de champagne. À croire que s’il m’arrivait quelque chose, il me suivrait aussi vite que possible dans la tombe. Je repoussai directement cette idée en regrettant amèrement ma pensée.

Le ciel commença à se couvrir, le crépuscule allait bientôt tomber. Mes parents allaient s’inquiéter si on ne rentrait pas à temps. Même s’il ne faut que quelques minutes pour rejoindre la maison d’Esmée et de Carlisle. Et je voulais encore jouer avec Jacob et Rose avant de rejoindre le petit cottage. J’exprimai mon envie à mon protecteur. Il me fit un signe de tête comme pour dire : « Oui oui, je termine mon repas et on y va ». Le temps devint de plus en plus sombre, et aussi de plus en plus froid, pour un humain. Mes cheveux virevoltaient dans la brise glacée. J’aperçus une nuée blanchâtre sur le côté droit de la minuscule clairière. Trois ombres noires encapuchonnées remontaient le chemin…
Bonjour, dit la personne dont le manteau noir ressortait plus que celui de ses deux comparses.

Ces trois visages m’étaient familiers. Je me souvins les avoir vu il y a presque un an. Sauf qu’à ce moment-là, ils n’étaient pas trois mais une vingtaine plus quelques témoins. Cette scène, je m’en rappelais dans les moindres détails. J’avais eu tellement peur de ne plus revoir ma famille ce jour-là.

Je vis Jacob gonfler son torse et émettre un grondement sourd qui fit trembler tous les arbres environnants. Lui aussi les avait reconnus : les Volturi. La petite femme frêle aux allures enfantines fit un pas dans notre direction. Aussitôt, Jake se plaça entre l’enfant et moi et se mit en position de telle sorte qu’il soit prêt à bondir sur nos visiteurs. Un autre vampire rejoignit Jane. Les deux groupes étaient séparés d’une trentaine de mètre.

Je vis les lèvres de Jake bouger, il transmettait sûrement le danger à sa meute. Celle-ci, en plus de Seth et Leah, se composait de Quil, Embry et Jared; Sam et Paul s’occupant des nouveaux loups. Leur meute était constituée d’une demi-douzaine de protecteurs. J’espérais vraiment que la meute de Jake et Sam entendront notre appel et pourront ainsi prévenir ma famille vampirique. Le sang battait sous mes tempes et je fus certaine d’avoir vu Félix faire un pas dans ma direction avant de reculer. Le soleil rebondissait sur la peau de chacun de nous, excepté Jacob.
- Vous ne me saluez pas ? Voilà, qui est bien dommage, il faudrait que votre éducation soit revue, repris Caïus.
- Je ne vois pas pourquoi je devrais vous saluer, vous interrompez ma partie de chasse, répliquais-je. De plus, je n’ai rien à vous dire.
- Vous me décevez, très chère…
- Maître, laissez-moi lui montrer à qui elle parle, dit Jane remplie d’excitation.
Jacob grogna si fort que si un arbre s’était trouvé devant lui, il se serait brisé en deux. Les yeux de Caïus eurent une expression remplie de peur. C’était normal, car il avait été autrefois attaqué par des loups-garous- certes différents de Jake mais des loups quand même, et il croyait la race éteinte jusqu’à ce fameux jour d’hiver.
- Pas encore, Jane chérie, attendons que du renfort arrive sinon ce serait tricher, deux contre trois…
Ils ne vont pas tarder, j’en suis sûr, murmura Félix.

Nous fûmes tous les cinq en position de combat, même si Caïus était un peu plus droit qu’il ne l’aurait fallu. Je fixai Jake et je m’étonnai de voir un soupçon de gaieté et de victoire dans ses prunelles. Les autres arrivaient, ils avaient reçu le message, j’en étais certaine. Je perçus des bruits de pas légers, comme s’ils effleuraient à peine le sol. Mais il y avait un problème, et pas n’importe lequel puisque les bruits de pas provenaient du côté des Volturi…

Je vis Jane redresser la tête et afficher un immense sourire. C’est alors que je compris que les pas ne venaient pas de loups mais de vampires. Naturellement, ce n’était pas ma famille mais c’étaient eux.

Je n’étais pas la seule à l’avoir deviné, toutes les personnes présentes dans la clairière aussi. Jane et Félix abordaient un visage radieux tandis que le mien et celui de Jacob étaient remplis de terreur. Par contre, l’expression de Caïus me déstabilisa, il n’avait pas le visage radieux des vampires ni de la terreur dans ses yeux comme nous. Son expression était indéchiffrable.
- On va bientôt pouvoir s’amuser, lança Jane.
- Oh que oui, se réjouit Félix.
La peur m’envahit soudain. Allais-je un jour revoir ma famille ? Maman. Papa. Rose. Emmett. Alice. Jasper. Pépé…Jacob. Ne plus revoir Jake, voilà le pire qu’il pourrait m’arriver. Celui-ci se tendit comme un arc. Il fallait que je prenne les choses en main. Je devais les sauver, tous, sans exceptions.
- Pourquoi venez-vous ici ? Il ne s’est rien passer depuis votre précédente venue, remarquai-je.
- Nous voulons juste vous rendre une petite visite et nous assurer que vous ne provoquez pas de problèmes, répondit Caïus.
- Je vois, mais maintenant que vous avez vu que tout est normal, vous pouvez vous en aller et nous laisser continuer notre partie de chasse.
- Mais voyons Nessie, nous pouvons aussi nous amuser.
- Bien sûr, mais où serait l’amusement ?, rétorquais-je.
Les yeux de Jane me lancèrent des éclairs. Elle avait difficile à se contenir devant mon pouls battant la chamade. Qui plus est, elle voulait absolument me faire subir sa torture dont mon père avait été victime un jour à Volterra.

Mais une chose me préoccupait. Pourquoi Caïus, en personne, était-il venu vérifier que je n’avais pas fait de mal à quelqu’un ? Il aurait pu envoyer une partie de sa garde. Et la façon dont ces vampires parlaient me dérangeait. Ils avaient l’air de vouloir se dépêcher. Quelque chose les effrayait. Jake ? Non, ils l’avaient déjà vu. Mais quoi alors ? Ma famille ? Si c’était elle, ils seraient venus plus nombreux. Ne trouvant pas de réponse à ma question, je décidai de me lancer et de l’interroger.
- Pourquoi es-tu venu seul, Caïus, mis à part Jane et Félix ?, questionnai-je.
- Pour ne pas éveiller les soupçons des habitants de Forks.
Quelque chose dans la prunelle de ses yeux me prouvait qu’il ne me disait pas la vérité. J’en étais certaine.

Là, les pas qu’on avait entendus devinrent des formes puis des couleurs et enfin des visages. Cinq exactement. Aro. Marcus. Alec. Démétri. Renata. Voilà, ce qui effrayait nos visiteurs. Caïus eut un mouvement de recul en les apercevant rentrer dans la clairière sur leur droite.
- Bienvenue, Chers frères, salua Caïus avec un signe de tête dans la direction d’Aro et de Marcus.
- Que viens-tu faire ici Caïus ?, demanda Aro.
- Voir que tout se passe bien, murmura son frère.
Aro tourna sa tête dans ma direction et me sourit gentiment.
- Bonsoir Mademoiselle, dit-il.
- Bonsoir Aro, Marcus, ajoutai-je en remarquant le troisième Volturi à l’arrière du peloton.
Maintenant, j’avais face à moi non plus trois mais huit vampires, et tous étaient assoiffés à en croire leurs cernes mauves et leurs yeux pourpres. Allais-je en sortir vivante ? Je ne saurai répondre à cette question, mais j’espérais que la réponse serait affirmative pour moi mais également pour le reste de ma famille. Maintenant, je n’avais plus qu’à souhaiter que ma famille arrive.

Soudain, je vis Jane prendre une position d’attaque, ses pieds glissèrent sur le sol et elle sauta dans ma direction… Mais Jake se plaça devant moi et me projeta à deux mètres derrière lui. Malgré mon agilité, je ne pus faire autrement que trébucher et m’écorcher sur l’arbre le plus proche. De mon coude, perlaient quelques gouttes de sang - mais assez pour les rendre encore plus assoiffés qu’ils ne l’étaient alors. Une fois de plus Jane sauta sur moi devant les yeux écarquillés de ses maîtres.

Mais à ce moment-là, surgit une quinzaine de loups-garous flanqués de huit magnifiques vampires aux yeux dorés. Le vampire le plus récent, celui dont les yeux étaient les plus rouges, celui qui comptait le plus à mes yeux, se jeta au cou du petit vampire blond. Ce vampire, c’était ma mère. C’est alors que commença un combat égal à égal, Jane profitant de son expérience, ma mère de son don ainsi que de sa force de nouveau-né. J’observai le duel, il ne restait plus qu’un mélange de brun, les cheveux de maman, et de blond, les cheveux de Jane.
En regardant les deux parties adverses, je m’aperçus qu’aucun d’entre elles n’osait bouger, tous étaient obnubilés par le combat qui se déroulait sous leurs yeux. De plus, personne ne se risquait à intervenir car ils avaient trop peur de blesser l’un des leurs. De temps en temps, on entendait des rugissements en provenance des deux femmes. Les deux groupes distants de quelques mètres se tenaient prêts à attaquer si l’une tuait l’autre. Ils étaient tendus. Tout comme moi. J’avais peur là, maintenant, tout de suite, mais je ne pus fuir devant cette soudaine violence.

Tout à coup, un morceau de peau blanchâtre incrusté de diamants surgit du cercle formé par ma génitrice et Jane. Qui était blessé ? Maman ? Jane ? Personne ne semblait avoir la réponse. Alors, Alec, qui s’était tenu à l’écart, fonça dans le tas. Mais mon père l’arrêta avant et lui arracha une partie de sa main droite. Un cri de douleur déchira l’atmosphère de la clairière qui était pourtant si agréable avant l’arrivée des Volturi. Leurs nerfs étaient à deux doigts de craquer.
Une tension indescriptible se créait à travers les adversaires. Je n’arrivais pas à rester en place sans rien faire. Je calculais mes chances d’arriver en vie jusqu’à maman et Jane et le temps qu’il me faudrait pour aider ma mère. La tâche semblait laborieuse mais je dus y mettre fin car une main glacée se posa sur mon épaule.
- Tu n’arriveras pas à l’aider sans te blesser, me chuchota mon père.
- Mais je veux aider maman !
- Tu ne feras que te blesser. S’il te plaît, ne tente rien.
- Oui, papa, répondis-je comme un enfant qui venait de faire une bêtise.
Bien sûr, c’était Alice qui lui avait dit ce que je comptais faire. Edward, Bella et moi n’étions pas les seuls à avoir des talents particuliers. En effet, ma tante Alice pouvait voir le futur et mon oncle Jasper pouvait contrôler les émotions des gens aux alentours. En parlant du loup, je sentis une vague d’apaisement me traverser. Il avait senti ma tension, c’était à la fois bien et mal. Bien, parce que je ne risquais plus de faire peur à mes parents et mal, car j’aurais tant voulu les aider.

À ce moment, un autre son brisa le silence. Mais cette fois-ci, je sus à qui le morceau d’oreille avait été enlevé. Pas à ma mère. À Jane. On pouvait voir de légers cheveux blonds vénitiens virevolter à l’entour. Les yeux de Jacob me rassurèrent. Je vis Alec se concentrer et me regarder droit dans les yeux avec un rictus mauvais : il essayait d’utiliser son don sur moi. C’est là que je sus que ma mère avait utilisé son don et protégeais nos amis. Cela me rassurait. C’était pour ça que ma famille et mes amis étaient encore vivant et gardaient leurs aptitudes à se défendre.

Alec ne tenait plus en place et, aussi évident que cela puisse paraître, fonça une nouvelle fois dans la direction des vampires. Aussi bizarre que ce puisse être, ce n’était pas Edward qui lui sauta dessus mais mon Jacob. Ce dernier, en bondissant, agrippa le bras d’Alec et tourna autour du malheureux toujours en tenant fermement son bras dans sa mâchoire. Après trente secondes de manège, le bras se détacha du reste de son corps. Les yeux d’Alec s’écarquillèrent de terreur et il hésita à continuer le combat. Jacob profita de cette hésitation pour se ruer de nouveau sur son adversaire et lui retira son second membre. Alec tituba vers les autres Volturi mais Jake l’avait remarqué. Avec le peu de force qui lui restait, Alec se glissa sur le côté quand Jacob parvint jusqu’à lui. Ce dernier sauta sur le côté afin d’éviter l’étreinte d’Alec (n’ayant plus de bras, celui-ci utilisa ses jambes pour écraser l’animal) ce qui pourrait lui briser les os comme lors de la bataille contre Victoria. Jacob effectua un demi-tour et détacha le haut du corps de ses jambes. À ce moment-là, la victoire appartenait à Jacob. Enfin, mon loup-garou plongea vers le torse du garçonnet blond et arracha la tête enfantine du tronc. Sur ce, j’entendis des jappements venant de la meute. Seulement quelques secondes avaient suffi pour démembrer totalement Alec.

En un éclair, Rosalie se dirigea vers le lieu du carnage et entreprit de ramasser les lambeaux de peau d’Alec et les deux morceaux de chaire perdus par Jane avec l’aide de Jake. Ils plongèrent dans la forêt pour aller rechercher les parties du corps que mon protecteur avait lancées.

Une fumée mauve s’éleva dans le ciel à une dizaine de mètres de la clairière. Alec était définitivement mort. Je savais que mon père aurait voulu les aider mais il ne voulait pas bouger de place afin que je puisse être en sécurité, mon protecteur étant parti, même si j’étais persuadée que je pouvais me défendre toute seule.
Le combat qui se déroulait au centre ralentit et je pus distinctement voir que Jane avait un bras et une oreille en moins.
- Viens Jane, ordonna Aro, nous n’avons plus rien à faire ici.
- Oui, je ne veux pas perdre quelqu’un d’autre, renchérit Caïus.
Jane se tourna vers moi et je vis des larmes de rage et de douleur déchirer ses yeux car bien évidemment les vampires ne pouvaient pas verser une seule larme. Son rictus était mauvais et un instant, je crus qu’elle allait de nouveau sauter à mon cou, mais elle ne fit rien. Elle resta là au milieu de l’étendue verte, seule avec elle-même. Elle me fixa à nouveau et me lança toute les injures qui existaient dans le monde. Je ne l’écoutais pas sauf sa dernière et ultime parole :
Tu mourras un jour, j’en fais le serment. Mais tu ne seras pas la seule à mourir, ton ami loup-garou va périr avec toi. Jamais je ne te pardonnerai d’avoir tué mon unique frère, hurla-t-elle à l’encontre de Jacob.
Je me figeai. Jamais elle ne pourrait toucher à un seul des poils de Jake, et là, c’est moi qui en fis le serment. Ma famille se précipita pour se placer entre Jane et moi.
Mais elle renonça à m’attaquer, aujourd’hui du moins.
Ma mère me prit dans ses bras et me serra si fort que je dus lui demander de desserrer son étreinte.
De retour au cottage, je m’endormis profondément. Cette nuit-là, je rêvai de Jane et de ce qu’elle m’avait dit. J’étais sûre de trois choses. Une, Jacob comptait plus que tout pour moi. Il était prêt à donner sa vie pour me sauver, même si je ne pourrais vivre sans lui. Deux, ma famille était plus forte que les Volturi. Et trois, j’étais sûre et certaine que ce n’était pas la dernière fois que je croiserai le regard pourpre de Jane…

Voilà jespère qu'il vous a plu :)

c'est pas mal du tout mais c'est un peu maladroit a certain endroits.
Sinon tu as oublié que Alice ne peut pas voir Renesmée et elle n'a donc pas put voir qu'elle s'apprêtaait à aller sauver Bella
je trouve que la note qu'on t'as mit convient parfaitement.
Mais bravo d'avoir écris un si long texte!

Mercii :)
C'est vrai jai plus pensé à Alice,
Quand j'ai de l'imagination je sais écrire beaucoup ^^
mais surtout à toi d'avoir tout lu^^

C'étaait un vrai plaisir^^